Le plus difficile dans l’amour, c’est encore de s’aimer soi-même sans égoïsme, en constatant les valeurs positives semées dans son être par la nature. Il faudrait arriver à connaître et à accepter la valeur de son intelligence, de sa volonté, de son cœur et de son corps, afin de pouvoir évoluer dans le monde, sans complexe et créer des relations humaines saines et droites.
L’amour de soi est bien, s’il signifie : prise de conscience de ses valeurs humaines, les vivre pour réaliser son être, pour se préparer à s’ouvrir aux autres.
Si c’est une vertu d’aimer mon prochain en tant qu’être humain, ce doit en être une et non un vice de m’aimer moi-même, étant donné que je suis aussi un être humain…
La grande réforme du siècle devrait être pour chaque personne humaine de s’introspecter, de faire l’inventaire profond des richesses de son être, les autres réformes suivront naturellement sans violence.
«Les fautes sont grandes quand l’amour est petit.» (proverbe italien)
«On n’offense personne en l’aimant. »
Réflexions personnelles
1. Suis-je convaincu que je suis différent des autres ?
2. Est-ce que les autres se sentent libres avec moi ?
3. Puis-je établir des relations saines avec les autres ?
4. Est-ce que j’ai le souci de me connaître moi-même ?
Extrait de la Collection Volontaires de Dieu : «Puis-je devenir libre?»
Groupe associé à l’Institut séculier : Les Oblates Missionnaires de Marie Immaculée.
Faire confiance… mais pourquoi ? 1. Accueillir et accepter l’autre tel qu’il est, sans condition.
Faire confiance… mais pourquoi ? 2. Respecter la liberté de l'autre
Faire confiance… mais pourquoi ? 3. Faire confiance